Portrait-charge d'Eugène Scribe
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Portrait-charge d'Eugène Scribe
CC0 Paris Musées / Maison de Balzac
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Ecriture - Bourse
Portrait-charge d'Eugène Scribe
Benjamin (Benjamin, Roubaud, dit)
Datation
En 1841
Musée
Maison de Balzac
Auteur(s):
Benjamin (Benjamin, Roubaud, dit) (Roquevaire, 29–05–1811 - Alger, 13–01–1847 — 14–1–1847), dessinateur-lithographe
Dates:
En 1841
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Institution :
Numéro d’inventaire:
BAL88.5
Portrait-charge d'Eugène Scribe
Informations détaillées
Auteur(s):
Benjamin (Benjamin, Roubaud, dit) (Roquevaire, 29–05–1811 - Alger, 13–01–1847 — 14–1–1847), dessinateur-lithographe
Aubert (Imprimeur, lithographe, éditeur), imprimeur
Autres titres :
Bien souvent la critique injuste et mensongère, / O Scribe, ne paraît faire aucun cas de toi / Et va jusqu'à traiter ta muse d'écolière ! / Ce reproche peut-il te causer quelqu'émoi ? Non… (Titre inscrit (lettre)), Panthéon charivarique (Auteurs dramatiques) (Titre de la série)
Date de production:
En 1841
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 37.8 cm
- Largeur : 25.5 cm
Dimensions - Image:
- Hauteur : 29.6 cm
- Largeur : 23.6 cm
Dimensions - Montage:
- Hauteur : 50 cm
- Largeur : 40 cm
Description:
Lithographie en noir et blanc sur papier. Reproduite dans Le Charivari du 8 septembre 1841.
Marques, inscriptions, poinçons:
Légende - "Bien souvent la critique injuste et mensongère, / O Scribe, ne paraît faire aucun cas de toi / Et va jusqu'à traiter ta muse d'écolière ! / Ce reproche peut-il te causer quelqu'émoi ? Non ; car on sait la chose est claire, / Que de tous les auteurs c'est tou le plus à droits."
Signature - En bas à gauche : "Benjamin"
En haut : "PANTHEON CHARIVARIQUE. / (Auteurs dramatiques)"
En bas à gauche : "Chez Bauger R. du Croissant, 16"
En bas à droite : "Imp. d'Aubert & Cie"
Personne / Personnage représenté:
Mode d'acquisition:
Date d’acquisition:
07–01–1988
Institution:
Numéro d’inventaire:
BAL88.5
Prolongement
Indexation
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 19e siècle (109.898)
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354.755)
- Arts graphiques (252.326)
- Type de support / matériau (277.754)
- Estampe (116.502)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263.684)
- Estampe (118.064)
Matériaux et techniques
- Techniques (289.819)
- Technique estampe (117.662)
- Lithographie (44.701)
- Technique estampe (117.662)
Theme representé
- Représentation humaine (7.466)
- Portrait (4.679)
Sujet représenté
- Société et vie sociale (7.001)
- Education - Savoir - Erudition (350)
- Ecriture (52)
- Vie quotidienne (1.978)
- Objet à fonctions diverses (598)
- Objets divers (150)
- Objet à fonctions diverses (598)
- Education - Savoir - Erudition (350)
Le Charivari est un journal né en 1832 sous l’impulsion de Philipon, dans la lignée du journal La Caricature. En février 1838, le coup d’envoi du Panthéon Charivarique est donné : sur quatre ans, il se veut être le pendant et une inversion du fronton du Panthéon de David D’Angers, dont le projet fut accepté en 1832, et qui fut achevé en 1837. Le 18 février 1838 est publié le premier portrait à charge effectué par Benjamin Roubaud (1811 – 1847) dans le Charivari. Sur les cent notabilités du Panthéon Charivarique, 47 sont indexées dans La Comédie humaine. Chaque caricature, caractérisée par la représentation d’une tête disproportionnée, est accompagnée d’une légende rimée au nom du personnage.