Cour de la brasserie de Santerre, 11 rue de Reuilly, 12ème arrondissement, Paris. Octobre 1897.

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Cour de la brasserie de Santerre, 11 rue de Reuilly, 12ème arrondissement, Paris. Octobre 1897.
CC0 Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris
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Cour de la brasserie de Santerre, 11 rue de Reuilly, 12ème arrondissement, Paris. Octobre 1897.
Emonts ou Emonds, Pierre
Dating
En 1897
Museum
Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Creator(s)
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Dates
En 1897
Object type(s)
Type(s)
Museum number
PH17963
Cour de la brasserie de Santerre, 11 rue de Reuilly, 12ème arrondissement, Paris. Octobre 1897.

Detailed informations

Creator(s)
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Autre titre :
Cour de la brasserie de Santerre, 11 rue de Reuilly - Octobre 1897. (Inscribed title)
Production date
En 1897
Object type(s)
Type(s)
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 28.8 cm
  • Largeur : 22.7 cm
Dimensions - Montage d'origine:
  • Hauteur : 48 cm
  • Largeur : 31.6 cm
Description

Tirage monté en 48 x 32 cm, contrecollé sur montage ancien.

Markings, inscriptions, punches
Inscription - Au recto du montage en bas à gauche, manuscrit à l'encre noire : "Cour de la brasserie de Santerre, 11 rue de Reuilly - Octobre 1897 - nº1126. B.82". \ Inscription à l'encre
Iconographical description

Cour de la brasserie de Santerre, 11 rue de Reuilly, 12ème arrondissement. Vue extérieure de la brasserie installée à partir de 1772 et vendue en 1795.

Historical background

C'est dans cette brasserie que se réunirent le 20 juin 1792 Santerre, le boucher Legendre, l'abbé de Lareynie, le libraire Poinsot et d'autres personnalités du Faubourg Saint-Antoine, afin de régler l'assaut qui allait être donné au palais des Tuileries. Santerre est nommé commandant de la garde nationale de Paris puis est gardien du Temple où la famille royale est enfermée. Ainsi c'est Santerre qui ira chercher Louis XVI pour son exécution. En mai 1793 il fut envoyé avec une division pour combattre les insurgés vendéens. On a beaucoup critiqué son action militaire bien que ses troupes étaient mal équipées, mal entraînées face à des troupes plus nombreuses et mieux armées. Il rentra à Paris pour rendre des comptes sur cette défaite et démissionna ensuite. Par ailleur il fut plusieurs fois suspecté d'orléanisme.En 1795, ruiné, il vendit les vestiges de sa brasserie et se lança dans l'achat de chevaux. Encore considéré sous le premier empire comme un meneur du faubourg Saint-Antoine, il fut traqué par la police de Napoléon.

Acquisition method
Acquisition date
1897
Museum number
PH17963

Indexation

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