... alors, il s’approcha d’elle et lui donna une poignée de main. elle lui dit : quoi, c’est par une poignée de main que vous trahissez la fille du ciel

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... alors, il s’approcha d’elle et lui donna une poignée de main. elle lui dit : quoi, c’est par une poignée de main que vous trahissez la fille du ciel
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Anonyme
Dating
En 1832
Museum
Maison de Balzac
Creator(s)
Anonyme, dessinateur
Dates
En 1832
Object type(s)
Materials / Technique
... alors, il s’approcha d’elle et lui donna une poignée de main. elle lui dit : quoi, c’est par une poignée de main que vous trahissez la fille du ciel

Detailed informations

Creator(s)
Anonyme, dessinateur
Becquet (imprimerie) (28–02–1796), imprimeur
Autre titre :
La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique (Group title)
Production date
En 1832
Object type(s)
Materials / Technique
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 35.6 cm
  • Largeur : 26 cm
Dimensions - Image:
  • Hauteur : 22.3 cm
  • Largeur : 18.5 cm
Description

Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 13 septembre 1832 (Planche n°198)

Markings, inscriptions, punches
Inscription - Titre en bas au centre : « ….. alors, il s’approcha d’elle et lui donna une poignée de main. elle lui // dit : quoi, c’est par une poignée de main que vous trahissez la fille du ciel. » ; légende plus bas à dte : « (parodie d’un tableau de vandick [Van Dyck]) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal.) // (N°97.) », en ht à dte : « Pl. 198. »
Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « EH » [ ?]
Iconographical description

Détournement du tableau "La capture de Jésus au jardin des oliviers" par Antoine Van Dyck (1618-20 ; Madrid, musée du Prado). Louis-Philippe, vu de trois quarts dos est assimilé à Judas, donnant une poignée de main à une figure féminine portant le bonnet phrygien, allégorie de la liberté (et/ou de la république), assimilée à Jésus. Louis-Philippe livre ainsi la liberté à la police, tout comme Judas avait livré Jésus aux Romains. Derrière se tiennent les gardes. Dupin se tient prêt à passer la corde au cou à la Liberté. Au premier plan à gche, Philipon, pour se venger, tient d’Argout par le nez et s’apprête à le frapper avec une marotte. A l’arrière-plan se distingue le château des Tuileries. La pl. dénonce la politique de répression engagée par le gouvernement. Sur un thème similaire, cf. pl. 163 (numéro 81) et pl. 185 (numéro 91).

Acquisition method
Acquisition date
20022013
Institution

Indexation

Matériaux et techniques

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