Entrée de l'hôtel habité par Santerre, 210 faubourg St Antoine 12ème arrondissement, Paris. Octobre 1897.

Autor(es)
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Fecha
En 1897
Tipo(s) de objeto(s)
Denominación(ciones)
Materiales y técnicas
Número de inventario
PH17966
Entrée de l'hôtel habité par Santerre, 210 faubourg St Antoine 12ème arrondissement, Paris. Octobre 1897.

Información detallada

Autor(es)
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Otro título :
Entrée de l'hôtel habité par Santerre, 210 faubourg St Antoine. Octobre 1897. (Titre inscrit (lettre))
Fecha de producción
En 1897
Tipo(s) de objeto(s)
Denominación(ciones)
Materiales y técnicas
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 22.8 cm
  • Largeur : 28.8 cm
Dimensions - Montage d'origine:
  • Hauteur : 31.8 cm
  • Largeur : 48 cm
Descripción

Tirage contrecollé sur montage ancien.

Marcas, inscripciones, cuños
Inscription - Au recto du montage en bas à gauche, manuscrit à l'encre noire : "Entrée de l'hôtel habité par Santerre, 210 faubourg St Antoine- Octobre 1897 - nº1128 - B.82." \ Inscription à l'encre
Descripción iconográfica

Entrée de l'hôtel habité par Santerre, 210 rue du Faubourg Saint-Antoine, 12ème arrondissement. Vue de la façade.

Comentario histórico

Brassseur, Santerre était une figure importante du faubourg. Il était connu pour sa générosité envers les plus pauvres du quartier. Républicain, il a vite un rôle important lors de la révolution de 1789. En 1792, Santerre est nommé commandant de la garde nationale de Paris puis est gardien du Temple où la famille royale est enfermée. Ainsi c'est Santerre qui ira chercher Louis XVI pour son exécution. En mai 1793 il fut envoyé avec une division pour combattre les insurgés vendéens. On a beaucoup critiqué son action militaire bien que ses troupes étaient mal équipées, mal entraînées face à des troupes plus nombreuses et mieux armées. Il rentra à Paris pour rendre des comptes sur cette défaite et démissionna ensuite. Par ailleur il fut plusieurs fois suspecté d'orléanisme.En 1795, ruiné, il vendit les vestiges de sa brasserie et se lança dans l'achat de chevaux. Encore considéré sous le premier empire comme un meneur du faubourg Saint-Antoine, il fut traqué par la police de Napoléon.

Forma de adquisición
Fecha de adquisición
1897
Número de inventario
PH17966

Indización

Matériaux et techniques

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