"Bacchante"
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"Bacchante"
Paul Poiret
Datación
En 1912
Museo
Palais galliera - museo de la moda de la ciudad de París
Autor(es):
Paul Poiret, couturier
Fecha:
En 1912
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Institución :
Información detallada
Autor(es):
Paul Poiret, couturier
Atribuida a Mariano Fortuny, maison de couture
Fecha de producción:
En 1912
Datación (siglo):
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Descripción:
Ensemble composé d'une tunique, d'une couronne et d'une paire de sandales. Tunique courte, corsage asymétrique, fait d'un grand panneau, resserré à la taille, à draper sur l'épaule. Sandales type cothurne.
Forma de adquisición:
Nombre del donador, testador o vendedor:
Fecha de adquisición:
Après 26–06–1985
Contient :
Paul Poiret
Vêtements et accessoires de vêtement
"Bacchante"
Prolongación
Indización
Artista / autor
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 20e siècle (95.923)
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354.755)
- Vêtements et accessoires de vêtement (21.041)
Dénomination(s)
- Mode - Habillement - Costume (16.868)
- Vêtement (8.035)
- Costume - Tenue - Ensemble (1.647)
- Ensemble (habillement) (794)
- Costume - Tenue - Ensemble (1.647)
- Vêtement (8.035)
Fonction / Utilisation
- Croyances - Coutumes (612)
- Coutumes et traditions (612)
- Fête - Festivité (423)
- Fête costumée (110)
- Fête - Festivité (423)
- Coutumes et traditions (612)
- Nature de l'utilisateur (16.002)
Le 20 juin 1912, Paul et Denise Poiret organisent "Les festes de Bacchus" au Butard, pavillon de chasse Louis XV construit par Gabriel en 1750, situé à la Celle-Saint-Cloud et loué par le couturier en 1912."J'avais supposé que tous les dieux, les déesses, les nymphes, les naïades les dyades et les satyres du parc de Versailles s'étaient secrètement donnés rendez-vous dans le bois voisin, au pavillon du Butard. Tous mes invités devaient donc emprunter les traits d'un personnage appartenant à la mythologie de Louis XIV. [ . . . ] A leur arrivée, ils étaient accueillis par des nymphes voilées de blanc, porteuses de torches qui les escortaient dans la nuit, à travers les grands arbres de la forêt, vers le pavillon où solennellement je les recevais, vêtu comme la statue chryséléphantine de Jupiter Olympien : des cheveux d'or tout bouclés, la barbe d'or également, drapé de voile blanc d'ivoire et chaussé de cothurnes. Toute la partie de la forêt que j'occupais et où devait se dérouler la fête avait été décorée dans l'esprit du Grand Siècle [ . . . ]" (In Paul Poiret, "En habillant l'Epoque", p. 186, Grasset).