Hôtel Fieubet, 2 quai des Célestins, 4ème arrondissement, Paris..
Hôtel Fieubet, 2 quai des Célestins, 4ème arrondissement, Paris..
Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris. Photo Philippe Ladet
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Hôtel Fieubet, 2 quai des Célestins, 4ème arrondissement, Paris..
Emonts ou Emonds, Pierre
Datación
En 1875
Museo
Museo Carnavalet - Historia de París
Autor(es):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Fecha:
En 1875
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Institución :
Número de inventario:
PH17625
Hôtel Fieubet, 2 quai des Célestins, 4ème arrondissement, Paris..
Información detallada
Autor(es):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Otro título :
Hôtel Fieuvé-façade au fond de la Cour (Titre inscrit (lettre))
Fecha de producción:
En 1875
Tipo(s) de objeto(s):
Denominación(ciones):
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 23.1 cm
- Largeur : 28.6 cm
Dimensions - Montage d'origine:
- Hauteur : 31.2 cm
- Largeur : 48.5 cm
Marcas, inscripciones, cuños:
Inscription - Au recto du montage, en bas à gauche, manuscrit à l'encre noire attribué à Emonts : "Hôtel Fieuvé [sic] - façade au fond de la Cour - Avril 1875 - nº1026 - B.74." \ Inscription à l'encre
Tampon - A cheval sur l'image et le montage dans le coin en bas à droite, tampon à l'encre magenta : "VILLE / DE / PARIS" (cf. Lugt Suppl. 2012c) \ Inscription à l'encre
Forma de adquisición:
Institución:
Número de inventario:
PH17625
Prolongación
Indización
Periodo
- Europe - périodes - règnes - évènements
Type(s) d'objet(s)
- Type de support / matériau (275.933)
- Photographie (76.840)
- Discipline (352.046)
- Arts graphiques (249.861)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (261.165)
- Photographie (74.205)
Cet hôtel, appelé aussi de La Valette et de Clèves, doit ses différents noms à quelques uns de ses multiples propriétaires. Gaspard de Fieubet, chancelier de la reine Marie-Thérèse, l'achète en 1676 et le fait reconstruire par Jules Hardouin Mansart. Marie-Elisabeth de Clèves l'achète en 1752, et le comte de la Valette, publiciste, en devient propriétaire en 1858 et défigure l'oeuvre de Mansart.