[Raphaël espionnant Foedora]

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[Raphaël espionnant Foedora]
CC0 Paris Musées / Maison de Balzac
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Autre visuel (1)
[Raphaël espionnant Foedora]
Marckl, Louis
Datation
En 1838
Musée
Maison de Balzac
Auteur(s)
Marckl, Louis (en 1807), dessinateur
Dates
En 1838
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Matériaux et techniques
[Raphaël espionnant Foedora]

Informations détaillées

Auteur(s)
Marckl, Louis (en 1807), dessinateur
Legris, graveur
Autre titre :
La Peau de chagrin : études sociales, Paris : Delloye et Lecou, 1838 (Titre de l'ensemble)
Date de production
En 1838
Type(s) d'objet(s)
Dénomination(s)
Matériaux et techniques
Dimensions - Image:
  • Hauteur : 10 cm
  • Largeur : 9.5 cm
Description

Illustration (vignette) pour Honoré de Balzac, ''La Peau de chagrin'', Paris : Delloye et Lecou, 1838, p. 154

Marques, inscriptions, poinçons
Lettre - Sur l'image, en bas à gauche ''Marckl delt.'' et à droite ''Legris Sculpt.''
Description iconographique

Foedora, au premier plan, est adossée à un mur et écoute distraitement un gentilhomme se tenant à sa droite. Habillée d'une robe blanche et de gants blancs, elle a les bras et les jambes croisés, et tient dans la main droite un éventail fermé. A l'extrême gauche, on aperçoit Raphaël et Valentin dissimulé derrière un rideau, dans la pénombre.« […] elle se soutenait sur la boiserie avec coquetterie comme une femme près de tomber, mais aussi près de s’enfuir si quelque regard trop vif l’intimide. Les bras mollement croisés, paraissant respirer les paroles, les écoutant même du regard et avec bienveillance, elle exhalait le sentiment. Ses lèvres fraîches et rouges tranchaient sur un teint d’une vive blancheur, ses cheveux bruns faisaient assez bien valoir la couleur orangée de ses yeux mêlés de veines comme une pierre de Florence, et dont l’expression semblait ajouter de la finesse à ses paroles, son corsage était paré des grâces les plus attrayantes. Une rivale aurait peut-être accusé de dureté ses épais sourcils qui paraissaient se rejoindre, et blâmé l’imperceptible duvet qui ornait les contours de son visage. Je trouvai la passion empreinte en tout. L’amour était écrit sur ses paupières italiennes, sur ses belles épaules dignes de la Vénus de Milo, dans ses traits, sur sa lèvre supérieure un peu forte et légèrement ombragée. »

Thèmes / Sujets / Lieux représentés :
Institution

Indexation

Type(s) d'objet(s)

Dénomination(s)

Matériaux et techniques

Theme representé

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