Alphonse Baudin (1811-1851) sur la barricade du faubourg Saint-Antoine, le 3 décembre 1851.

Alphonse Baudin (1811-1851) sur la barricade du faubourg Saint-Antoine, le 3 décembre 1851.

CC0 Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris
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Autre visuel (1)
Alphonse Baudin (1811-1851) sur la barricade du faubourg Saint-Antoine, le 3 décembre 1851.
Pichio, Ernest (Piq, dit)
Datation
En 1869
Musée
Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Auteur(s):
Pichio, Ernest (Piq, dit) (Paris, en 1840 - Paris, en 08–1893), peintre
Dates:
En 1869
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Institution :
Numéro d’inventaire:
P1402
Alphonse Baudin (1811-1851) sur la barricade du faubourg Saint-Antoine, le 3 décembre 1851.
Informations détaillées
Auteur(s):
Pichio, Ernest (Piq, dit) (Paris, en 1840 - Paris, en 08–1893), peintre
Date de production:
En 1869
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 128 cm
- Largeur : 197 cm
Dimensions - Cadre:
- Hauteur : 171 cm
- Largeur : 238 cm
- Epaisseur : 15 cm
Description:
Huile sur toile encadrée.
Marques, inscriptions, poinçons:
Signature - Au recto, en bas à gauche: "E.Pichio"
Mode d'acquisition:
Nom du donateur, testateur, vendeur:
Date d’acquisition:
13–10–1922
Institution:
Numéro d’inventaire:
P1402
Prolongement
Indexation
Artiste / Auteur
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 19e siècle (107 545)
- 2e moitié du 19e siècle
- 19e siècle (107 545)
Période
- Europe - périodes - règnes - évènements
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (351 961)
- Peinture (7 257)
Matériaux et techniques
- Techniques (263 153)
- Technique peinture (6 493)
- Peinture à l'huile (6 157)
- Technique peinture (6 493)
- Matériaux (30 296)
- Matériau d'origine végétale (29 650)
- Toile (matériau) (3 616)
- Matériau d'origine végétale (29 650)
Député de l’Ain, Alphonse Baudin fut l’un des rares républicains à prendre les armes lors du coup d’État du 2 décembre 1851. Il mourut le 3 décembre sur la barricade dressée par les ouvriers du faubourg Saint-Antoine. À l’un d’eux qui lui avait déclaré : "Croyez-vous que nous allons nous faire tuer pour conserver vos 25 francs par jour ? ", il aurait répondu : "Vous allez voir comment on meurt pour 25 francs ! ", avant d’être blessé mortellement par une balle.Tableau présenté au Salon de 1870, n°2256.