Hôtel Fieubet, 2 quai des Célestins, 4ème arrondissement. Paris.
Auteur(s):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Dates:
En 1875
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Institution :
Numéro d’inventaire:
PH17633
Hôtel Fieubet, 2 quai des Célestins, 4ème arrondissement. Paris.
Informations détaillées
Auteur(s):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Autre titre :
Hôtel Fieuvé-façade au fond de la cour (Titre inscrit (lettre))
Date de production:
En 1875
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 27 cm
- Largeur : 22.2 cm
Dimensions - Montage d'origine:
- Hauteur : 48.6 cm
- Largeur : 31.2 cm
Description:
Tirage monté en format 48,5 x 31,5 cm.
Marques, inscriptions, poinçons:
Inscription - Au recto du montage, en bas à gauche, manuscrit à l'encre noire attribué à Emonts : "Hôtel Fieuvé [sic] - façade au fond de la cour - Avril 1875 - Nº1027 - B.74." \ Inscription à l'encre
Tampon - A cheval sur l'image et le montage dans le coin en bas à droite, tampon à l'encre magenta : "VILLE / DE / PARIS" (cf. Lugt Suppl. 2012c) \ Inscription à l'encre
Mode d'acquisition:
Institution:
Numéro d’inventaire:
PH17633
Prolongement
Indexation
Période
Type(s) d'objet(s)
- Type de support / matériau (279 101)
- Photographie (77 053)
- Discipline (357 731)
- Arts graphiques (253 862)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (265 136)
- Photographie (74 394)
Matériaux et techniques
- Techniques (294 154)
- Technique photographie (59 717)
- Positif (58 052)
- Positif monochrome (56 552)
- Tirage noir et blanc argentique (54 541)
- Tirage sur papier albuminé (31 015)
- Tirage noir et blanc argentique (54 541)
- Positif monochrome (56 552)
- Positif (58 052)
- Technique photographie (59 717)
Cet hôtel, appelé aussi de La Valette et de Clèves, doit ses différents noms à quelques uns de ses multiples propriétaires. Gaspard de Fieubet, chancelier de la reine Marie-Thérèse, l'achète en 1676 et le fait reconstruire par Jules Hardouin Mansart. Marie-Elisabeth de Clèves l'achète en 1752, et le comte de la Valette, publiciste, en devient propriétaire en 1858 et défigure l'oeuvre de Mansart.