La Libération de Paris - 25 août 1944 - Le général Von Choltitz à la gare Montparnasse (Bureau 32) signe une réclamation pour récupérer sa cantine disparue à l'hôtel de Meurice, 4ème arrondissement, Paris.

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La Libération de Paris - 25 août 1944 - Le général Von Choltitz à la gare Montparnasse (Bureau 32) signe une réclamation pour récupérer sa cantine disparue à l'hôtel de Meurice, 4ème arrondissement, Paris.
SNCF (Société nationale des chemins de fer français)
Datation
En 1944
Musée
Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Auteur(s):
SNCF (Société nationale des chemins de fer français), photographe
Dates:
En 1944
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Institution :
Numéro d’inventaire:
PH11006
La Libération de Paris - 25 août 1944 - Le général Von Choltitz à la gare Montparnasse (Bureau 32) signe une réclamation pour récupérer sa cantine disparue à l'hôtel de Meurice, 4ème arrondissement, Paris.
Informations détaillées
Auteur(s):
SNCF (Société nationale des chemins de fer français), photographe
Anonyme, photographe
Autre titre :
Le Général Von Choltitz signe la reddition de Paris, à la Préfecture de Police, le 25 août 1944 vers 16h. (Titre inscrit (lettre))
Date de production:
En 1944
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 30.2 cm
- Largeur : 40.7 cm
Dimensions - Passe-partout du musée:
- Hauteur : 50 cm
- Largeur : 65 cm
Marques, inscriptions, poinçons:
Inscription concernant le titre - Au recto du montage ancien, inscriptions manuscrites à l'encre : en bas à l'encre noire : "Le General Von Choltitz signe la Reddition de Paris, à la Préfecture de police, le 25 août 1944, vers 16h." et, en haut à droite, à l'encre brune : "25 août 1944 / Tuileries". \ Inscription à l'encre
Inscription concernant le titre - Au verso du montage ancien, en haut, inscription au crayon : "Le général Von Choltitz commandant des forces nazies à Paris assis à son / bureau à la gare Montparnasse signe la reddition de Paris des 10 / 25 Août à la gare montparnasse le general von Chltitz signe la reddition de Paris / Cl. SNCF".Inscription barrée.
Inscription - Au verso du montage ancien, en bas à droite , inscriptions au crayon : "Mr Wormser" et, "106". Cette dernière inscription est entourée.
Mode d'acquisition:
Institution:
Numéro d’inventaire:
PH11006
Prolongement
Indexation
Artiste / Auteur
Période
- Europe - périodes - règnes - évènements
Type(s) d'objet(s)
- Type de support / matériau (275 912)
- Photographie (76 840)
- Discipline (351 961)
- Arts graphiques (249 860)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (261 164)
- Photographie (74 205)
Le montage ancien a été décollé (juillet 1998), il est classé en dossier d'oeuvre. Cette photographie a été recadrée. L'image originale montre debout à gauche, le capitaine Betz, interprète du général Leclerc. Assis à droite, le sous-lieutenant Braun, de l'état-major de la 2ème DB. La scène se passe dans le bureau 32 de la gare Montparnasse donnant sur la voie n°3. Un nouvel ordre de détruire Paris est venu le 26 août du bunker d'Hitler, après la reddition de Von Choltitz. Le Generaloberst Alfred Jodl a cherché à joindre le maréchal Walter Model pour bombarde Paris avec les batteries de V1 et V2 qui restaient actives dans le nord et en Belgique, mais celui-ci était en inspection à Compiègne. C'est son adjoint, le général Hans Spiedel (l'un des conspirateurs du complot du 20 juillet visant à tuer Hitler.) qui a reçu l'ordre et ne l'a volontairement pas exécuté. Il est ensuite emprisonné par la Gestapo et libéré par les troupes françaises en avril 1945.La photographie suivante avait pour légende « Le Général von Choltitz signe la reddition de Paris, à la Préfecture de police, le 25 août 1944 vers 16h ». Cette photographie recoupée pour rendre l’instant plus solennel et faire disparaître le personnage de droite, le sous-lieutenant Braun absent lors de la reddition de von Choltitz, n’est en réalité pas la photographie de la reddition car il n’existe aucune photographie de cet instant. Cette image a été prise dans le bureau 32 donnant sur la voie n°3 de la gare Montparnasse et serait, d’après Alfred Betz qui se serait confié à Pierre Bourget, l’instant ou von Choltitz fait une lettre de réclamation pour retrouver sa cantine personnelle qui aurait disparue à l’hôtel Meurice.