Papier peint révolutionnaire provenant du pavillon de Flore
Auteur(s):
Anonyme, graveur
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Institution :
Numéro d’inventaire:
PP10
Papier peint révolutionnaire provenant du pavillon de Flore
Informations détaillées
Auteur(s):
Anonyme, graveur
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 75.8 cm
- Largeur : 106 cm
Dimensions - Montage du musée:
- Hauteur : 75.8 cm
- Largeur : 106 cm
Description:
En 9 feuilles. Une enveloppe contenant une mention de la provenance de l'oeuvre.
Marques, inscriptions, poinçons:
Inscription - Au recto, circulaire, imprimée en lettres bleues : "RÉPUBLIQUE FRANÇAISE" ; au milieu, sur un phylactère, imprimée en lettres rouges : "LIBERTÉ ÉGALITÉ".
Mode d'acquisition:
Nom du donateur, testateur, vendeur:
Date d’acquisition:
12–10–1904
Institution:
Numéro d’inventaire:
PP10
Indexation
Artiste / Auteur
Période
- Europe - périodes - règnes - évènements
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354 755)
- Arts graphiques (252 326)
- Type de support / matériau (277 754)
- Estampe (116 502)
- Chronologie, civilisation, géographie (14 965)
- Chronologie (8 955)
- Révolution française (6 846)
- Chronologie (8 955)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263 684)
- Estampe (118 064)
- Papier peint (68)
- Estampe (118 064)
Accompagnant les papiers peints ornés d'emblèmes révolutionnaires, se trouvait une enveloppe sur laquelle une écriture ancienne précisait qu'ils avaient été mis au jour lors des travaux exécutés, sous le Second Empire, au Pavillon de Flore. Ce pavillon méridional des Tuileries abritait, pendant la Révolution et plus précisément dans les années 1793-1795, les locaux du Comité de Salut public. Il y a donc de bonnes raisons de supposer que ces papiers peints faisaient partie de la décoration de ce lieu chargé d'histoire, bien qu'il soit impossible de préciser de quel endroit précis ils proviennent (salle de réunion du Comité, "anti-salle" - où fut déposé Robespierre blessé à l'aube du 10 Thermidor an II - , bureaux des différents services...). ( Philippe de Carbonnières)