Portrait de Mr E. Rattier, sur son lit de mort le 5 Sept 1890.
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Portrait de Mr E. Rattier, sur son lit de mort le 5 Sept 1890.
CC0 Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris
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Autre visuel (1)
Portrait de Mr E. Rattier, sur son lit de mort le 5 Sept 1890.
Emonts ou Emonds, Pierre
Datation
En 05–09–1890
Musée
Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Auteur(s):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Dates:
En 05–09–1890
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Institution :
Numéro d’inventaire:
PH8983
Portrait de Mr E. Rattier, sur son lit de mort le 5 Sept 1890.
Informations détaillées
Auteur(s):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Date de production:
En 05–09–1890
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 22.3 cm
- Largeur : 17 cm
Dimensions - Montage d'origine:
- Hauteur : 30.3 cm
- Largeur : 24.7 cm
Dimensions - Passe-partout du musée:
- Hauteur : 40 cm
- Largeur : 30 cm
Marques, inscriptions, poinçons:
Inscription concernant le titre - Au recto du montage, en bas à gauche, manuscrite à l'encre noire attribuée à Emonts : "Portrait de Mr E. Rattier, sur son lit de mort le 5 Sept 1890. (par P. Emonts phot.)". \ Inscription à l'encre
Mode d'acquisition:
Institution:
Numéro d’inventaire:
PH8983
Indexation
Période
Type(s) d'objet(s)
- Type de support / matériau (279 101)
- Photographie (77 053)
- Discipline (357 731)
- Arts graphiques (253 862)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (265 136)
- Photographie (74 394)
Matériaux et techniques
- Techniques (294 154)
- Technique photographie (59 717)
- Positif (58 052)
- Positif monochrome (56 552)
- Tirage noir et blanc argentique (54 541)
- Tirage sur papier albuminé (31 015)
- Tirage noir et blanc argentique (54 541)
- Positif monochrome (56 552)
- Positif (58 052)
- Technique photographie (59 717)
Il s'agit probablement d'Edmond RATTIER est né à Paris en 1822 pour y mourir en 1890. Il entre dans les Zouaves en 1843. Il est sergent du 48e de ligne lorsque ses compagnons le désigne en mai 1849, ainsi que son camarade Jean-Baptiste Boichot, pour se présenter sur la liste démocratique-socialiste aspirant à l'union du Peuple et de l'Armée. Ils acceptent malgré les pressions du pouvoir militaire et sont élus avec succés, le remportant sur un maréchal de France! Ses engagements politiques auprès de Ledru-Rollin contre la marche sur Rome l'oblige à fuir à Londres en juin 1849 où il devient chapelier. La haute cour de Versailles le condamne à la déportation par contumace. Il est amnistié en 1859 mais revient bien plus tard en France.