Hôtel Fieubet, 2 quai des Célestins, 4ème arrondissement. Paris.
Auteur(s):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Dates:
En 1875
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Institution :
Numéro d’inventaire:
PH17620
Hôtel Fieubet, 2 quai des Célestins, 4ème arrondissement. Paris.
Informations détaillées
Auteur(s):
Emonts ou Emonds, Pierre (Aix-la-Chapelle, 29–03–1831 - après 1912), photographe
Autre titre :
Hôtel Fieuvé (Titre inscrit (lettre))
Date de production:
En 1875
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 28.9 cm
- Largeur : 22.6 cm
Dimensions - Montage d'origine:
- Hauteur : 48.6 cm
- Largeur : 31.3 cm
Description:
Tirage monté.
Marques, inscriptions, poinçons:
Inscription - Au recto du montage, en bas à gauche, manuscrit à l'encre noire attribué à Emonts : "Hôtel Fieuvé [sic] - Avril 1875 - nº1025. B.74." \ Inscription à l'encre
Tampon - A cheval sur l'image et le montage dans le coin en bas à droite, tampon à l'encre magenta : "VILLE / DE / PARIS" (cf. Lugt Suppl. 2012c) \ Inscription à l'encre
Mode d'acquisition:
Institution:
Numéro d’inventaire:
PH17620
Prolongement
Indexation
Période
Type(s) d'objet(s)
- Type de support / matériau (277 754)
- Photographie (77 000)
- Discipline (354 755)
- Arts graphiques (252 326)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263 684)
- Photographie (74 361)
Matériaux et techniques
- Techniques (289 819)
- Technique photographie (59 630)
- Positif (57 980)
- Positif monochrome (56 483)
- Tirage noir et blanc argentique (54 472)
- Tirage sur papier albuminé (31 014)
- Tirage noir et blanc argentique (54 472)
- Positif monochrome (56 483)
- Positif (57 980)
- Technique photographie (59 630)
Cet hôtel, appelé aussi de La Valette et de Clèves, doit ses différents noms à quelques uns de ses multiples propriétaires. Gaspard de Fieubet, chancelier de la reine Marie-Thérèse, l'achète en 1676 et le fait reconstruire par Jules Hardouin Mansart. Marie-Elisabeth de Clèves l'achète en 1752, et le comte de la Valette, publiciste, en devient propriétaire en 1858 et défigure l'oeuvre de Mansart.