Portrait de Fantin-Latour de profil devant son chevalet.
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Portrait de Fantin-Latour de profil devant son chevalet.
CC0 Paris Musées / Musée Carnavalet - Histoire de Paris
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Autre visuel (1)
Portrait de Fantin-Latour de profil devant son chevalet.
Anonyme
Datation
Entre 1890 et 1904
Musée
Musée Carnavalet, Histoire de Paris
Auteur(s):
Anonyme, photographe
Dates:
Entre 1890 et 1904
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Lieu(x) d'exécution / réalisation:
Institution :
Numéro d’inventaire:
PH8825
Portrait de Fantin-Latour de profil devant son chevalet.
Informations détaillées
Auteur(s):
Anonyme, photographe
Date de production:
Entre 1890 et 1904
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Matériaux et techniques:
Lieu(x) d'exécution / réalisation:
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 8.1 cm
- Largeur : 11.7 cm
Description:
Tirage non monté
Marques, inscriptions, poinçons:
Tampon - Au recto de l'image, en haut au milieu, tampon oval à l'encre noire du Musée Carnavalet. \ Inscription à l'encre
Institution:
Numéro d’inventaire:
PH8825
Prolongement
Indexation
Artiste / Auteur
Période
Type(s) d'objet(s)
- Type de support / matériau (277 754)
- Photographie (77 000)
- Discipline (354 755)
- Arts graphiques (252 326)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263 684)
- Photographie (74 361)
Matériaux et techniques
- Techniques (289 819)
- Technique photographie (59 630)
- Positif (57 980)
- Positif monochrome (56 483)
- Tirage noir et blanc argentique (54 472)
- Aristotype (2 687)
- Tirage noir et blanc argentique (54 472)
- Positif monochrome (56 483)
- Positif (57 980)
- Technique photographie (59 630)
Lieu d'exécution / réalisation
- Paris (24 877)
Fantin-Latour (Ignace-Henri-Joseph-Théodore), peintre français, est née en 1836 à Grenoble et est mort en 1904, à Buré. Elève de Courbet. Fantin-Latour tient à la fois de Chardin et de Delacroix, des Hollandais et des Romantiques. Parmi ses oeuvres : Hommage à Delacroix (1865) et le Toast (1865), deux tableaux figurant des écrivains et des artistes connus. De 1878 à 1883 il expose des potraits, des lithographies des dessins et des peintures, réalisés sous l'influence musicale de Schumann, Berlioz ou Wagner. En 1888, il exécute huit lithographies destinées à illustrer l'Hector Berlioz d'Adolphe Julien. "Depuis lors, peut on lire dans le Larousse du XX, il ne cessa point de fixer sur la toile quelques uns de ses rêves favoris : nuits, songes, paysages enchantés que peuplent des Héros..."