L'Amant retenu et fronton à l'antique
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L'Amant retenu et fronton à l'antique
CC0 Paris Musées / Musée Cognacq-Jay, le goût du XVIIIe
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Autre visuel (1)
L'Amant retenu et fronton à l'antique
Ecole française
Datation
Vers 1760
Musée
Musée Cognacq-Jay, le goût du XVIIIe
Auteur(s):
Ecole française, dessinateur
Dates:
Vers 1760
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Institution :
Numéro d’inventaire:
1993.9
L'Amant retenu et fronton à l'antique
Informations détaillées
Auteur(s):
Ecole française, dessinateur
Anciennement attribué à Italie, École de (École italienne), dessinateur
Autre titre :
Danaé (Titre ancien (périmé))
Date de production:
Vers 1760
Datation en siècle:
Type(s) d'objet(s):
Dénomination(s):
Dimensions - Oeuvre:
- Hauteur : 21.4 cm
- Largeur : 16.3 cm
Dimensions - Montage:
- Hauteur : 50 cm
- Largeur : 40 cm
Marques, inscriptions, poinçons:
Filigrane - Important filigrane à fleurs de lys non identifié, français ou florentin
Mode d'acquisition:
Nom du donateur, testateur, vendeur:
Date d’acquisition:
25–11–1993
Institution:
Numéro d’inventaire:
1993.9
Indexation
Artiste / Auteur
Datation en siècle
- 2e millénaire
- 18e siècle (19 210)
Type(s) d'objet(s)
- Discipline (354 755)
- Arts graphiques (252 326)
- Type de support / matériau (277 754)
- Dessin (69 027)
Dénomination(s)
- Arts graphiques (263 684)
- Dessin (68 090)
Le premier croquis, situé en haut de la feuille, peut être la première pensée d'un peintre pour un dessin plus abouti ou la composition d'une toile, mais il semble surtout la copie rapide d'un tableau ou d'une partie de décor d'un maître plus ancien par un artiste en voyage, désireux d'en conserver le souvenir. La deuxième étude, au bas de la page, conduit à la même suggestion. S'agit-il du dessin d'un artiste qui aurait aussi imaginé la scène du registre supérieur ? Ou bien d'un second croquis de voyage, exécuté d'après un bas-relief ou un médaillon peint entouré de figures en stuc, jeté très vite sur le papier afin d'en mémoriser la composition ? Cette dernière hypothèse paraît la plus plausible car des relevés de motifs décoratifs par les artistes étaient fréquents, en particulier durant certains périples en France ou leurs séjours d'études en Italie (cf. Burollet, Thérèse, 2008, p.292).