Portrait-charge de Frédéric Soulié

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Portrait-charge de Frédéric Soulié
CC0 Paris Musées / Maison de Balzac
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Caricature - dessin humoristique - Démon
Portrait-charge de Frédéric Soulié
Benjamin (Benjamin, Roubaud, dit)
Datación
En 1838
Museo
Casa de Balzac
Autor(es)
Benjamin (Benjamin, Roubaud, dit) (Roquevaire, 29–05–1811 - Alger, 13–01–1847 — 14–1–1847), dessinateur-lithographe
Fecha
En 1838
Datación (siglo)
Tipo(s) de objeto(s)
Denominación(ciones)
Materiales y técnicas
Número de inventario
BAL539

Información detallada

Autor(es)
Benjamin (Benjamin, Roubaud, dit) (Roquevaire, 29–05–1811 - Alger, 13–01–1847 — 14–1–1847), dessinateur-lithographe
Autres titres :
Satan dicte, et Soulié sous sa dictée écrit / Un ouvrage infernal, diablement remarquable. / En le lisant personne n'a dit / que cela ne vaut pas le Diable (Titre inscrit (lettre)), Panthéon charivarique (Romanciers) (Titre de la série)
Fecha de producción
En 1838
Datación (siglo)
Tipo(s) de objeto(s)
Denominación(ciones)
Materiales y técnicas
Dimensions - Oeuvre:
  • Hauteur : 35.6 cm
  • Largeur : 24 cm
Dimensions - Image:
  • Hauteur : 28 cm
  • Largeur : 20.7 cm
Dimensions - Montage:
  • Hauteur : 50 cm
  • Largeur : 40 cm
Descripción

Lithographie en noir et blanc sur papier. Reproduite dans le Charivari du 10 mars 1838.

Marcas, inscripciones, cuños
Légende - Satan dicte, et Soulié sous sa dictée écrit / Un ouvrage infernal, diablement remarquable. / En le lisant personne n'a dit / que cela ne vaut pas le Diable
En haut : "Romanciers / PANTHEON CHARIVARIQUE / Le Charivari (Journal)"
Signature - En bas à gauche : "Benjamin"
En bas à droite : "Imp. d'Aubert & Cie"
Descripción iconográfica

Frédéric-Melchor Soulié est connu pour la publication en huit volumes des "Mémoires du diable" en 1837 et 1838, ce qui explique en légende le vers mentionnant Satan. Coiffé en « oreilles de chien », et présentant une imposante moustache broussailleuse, de face, le romancier est assis sur un fauteuil, portant un complet où veston et pantalon sont assortis. La forme de ses bottines évoquent celle du sabot : avec la queue qui dépasse, tombant au sol, rappelant le diable dont il écrit les mémoires, comme le souligne le nom du manuscrit lisible sur sa table, au milieu d’autres feuilles, à côté d’une plume reposant dans un encrier. « Il avait vu passer au-dessus de sa tête ce démon qu'il est si facile de prendre pour un ange, ce Satan aux ailes diaprées, qui sème des rubis, qui jette ses flèches d'or au front des palais, empourpre les femmes, revêt d'un sot éclat les trônes, si simples dans leur origine, il avait écouté le dieu de cette vanité crépitante dont le clinquant nous semble être un symbole de puissance. » [Extrait du roman Le Père Goriot, par Honoré de Balzac]

Comentario histórico

Le Charivari est un journal né en 1832 sous l’impulsion de Philipon, dans la lignée du journal La Caricature. En février 1838, le coup d’envoi du Panthéon Charivarique est donné : sur quatre ans, il se veut être le pendant et une inversion du fronton du Panthéon de David D’Angers, dont le projet fut accepté en 1832, et qui fut achevé en 1837. Le 18 février 1838 est publié le premier portrait à charge effectué par Benjamin Roubaud (1811 – 1847) dans le Charivari. Sur les cent notabilités du Panthéon Charivarique, 47 sont indexées dans La Comédie humaine. Chaque caricature, caractérisée par la représentation d’une tête disproportionnée, est accompagnée d’une légende rimée au nom du personnage.

Áreas temáticas / temas / lugares representados :
Forma de adquisición
Institución
Número de inventario
BAL539

Prolongación

Prolongación

Exposiciones

Título
Benjamin Roubaud et le Panthéon charivarique (Paris)
Fechas
05/31/1988 to 08/31/1988
Institución
Maison de Balzac

Indización

Datation en siècle

Type(s) d'objet(s)

Dénomination(s)

Matériaux et techniques

Theme representé

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